Filmographie

  • Water Makes Money, Documentaire de Leslie Franke et Herdolor Lorenz, 2010, Allemagne/France, 82'. Comment les entreprises s'accaparent la distribution de l'eau et le transforme en argent. A l'instar de Paris, des collectivités se soulèvent pour passer en régie publique... www.watermakesmoney.org
  • À propos d’une rivière, Georges FRANJU, 1955, France, 22’. L’histoire du saumon, sa naissance en rivière dans la Haute vallée. Une descente vers la mer et une longue errance dont on sait peu de choses. L’humour implacable de Georges Franju.
  • Le Cauchemar de Darwin, franco-suisse de Hubert SAUPER, 2004. Au bord du lac Victoria,en Tanzanie,les pratiques d’un commerce favorisant le trafic d’armes au mépris des populations riveraines réduites à la misère. L’introduction de l’élevage de la perche du Nil pour des raisons économiques a détruit tout l’écosystème du lac.
  • L’Eau et les hommes, Pierre WILLEMIN, La Géode, 2000. Un tour du monde sur le thème de l’eau, source de vie, de joies et de bien-être.
  • Madame l’eau, Jean ROUCH, 1993. À la recherche des solutions pour lutter contre la sécheresse au Niger, Lam, Damouré et Tallou partent en Hollande, le pays de l’eau et des moulins. Ils ramènent dans leurs bagages un ingénieur néerlandais et le moulin démontable dont il est l’inventeur.
  • La mémoire est-elle soluble dans l’eau ?, Charles NAJMAN, 1995. À la frontière du documentaire et de la fiction, entre comédie et tragédie, le film raconte la vie après Auschwitz,dans l’ambiance surréaliste d’un établissement thermal. Comme tous les deux ans, Solange Najman, mère du réalisateur, se rend à Évian avec d’autres anciens déportés pour une cure payée par le gouvernement allemand.
  • Le Pont, Joris IVENS, 1928, Pays-Bas, 11’. Joris Ivens filme le pont de Rotterdam, achevé en 1927, l’époque le plus important des Pays-Bas. "En tournant Le Pont, j’ai appris à regarder". Ce film, ainsi que La Pluie, le firent alors connaître comme un des plus grands cinéastes de l’avant-garde hollandaise.
  • Au bord de la mer bleue, Boris BARNET, URSS, 1936. Deux amis, rescapés d’un naufrage en mer Caspienne, au large de l’Azerbaïdjan, échouent sur une île et tombent amoureux de la même jeune femme. «Une merveille pleine d’admiration pour l’existence, l’amour, le désir, la fidélité sur fond de kolkhoze» (Otar Iosseliani).
  • Eau douce, Marie VERMILLARD, France, 58’, 1997. Une famille, accompagnée de l’énigmatique vieux Bistre, celui qui ne parle pas. Dans leur péniche, nouvelle Hirondelle ou nouvelle Mésange,ils voguent ainsi sur les eaux lisses des canaux. Famille immobile au fil des paysages qui courent au long des rives.
  • Le Fleuve sauvage (The Wild River), Elia KAZAN, 1960. Dans le Tennessee, l’ingénieur Glover est chargé de construire d’un barrage dans la région pour prévenir les crues dévastatrices du fleuve. Des bouleversements humains qui s’ensuivent.
  • Ivan, Alexandre DOVJENKO, URSS, 1932. Un barrage va être construit sur le Dniepr pour l’installation d’un complexe hydroélectrique. On recrute de la main d’œuvre dans les campagnes.
  • Man of Aran, Robert FLAHERTY, Grande-Bretagne, 1932-1934. Aux confins des côtes irlandaises, une fable aux allures de mythe sur l’homme confronté à la mer.
  • La Prophétie des grenouilles, (film d’animation), Jacques-Rémy GIRED, France, 2003. Une variation réussie sur le déluge.
Et aussi :
  • L’Atalante, Jean VIGO, France, 1934.
  • Le Fleuve (The River), Jean RENOIR, US, 1950.
  • Le Jour d’après (The Day after Tomorrow), Roland EMMERICH, US, 2003.
  • Manon des sources, Claude BERRI, d’après Marcel Pagnol,1986.
  • Moby Dick, John HUSTON, États-Unis, 1956.
  • Mort à Venise, Luchino VISCONTI, Italie, 1971...